« La communication avec vous a été superbe »

Dans un monde où l’immobilier est souvent synonyme de dépenses astronomiques, il n’est pas rare chez nous de tomber sur une histoire aussi surprenante que celle de Romain, un Bordelais de 42 ans, qui vient de réaliser un rêve improbable : devenir propriétaire d’une maison au Japon pour la modique somme de 5 500 euros. Pour beaucoup, cela semble invraisemblable, voire impossible, surtout en France, où les prix de l’immobilier ne cessent de grimper. Pourtant, c’est une réalité pour Romain, dont le parcours reflète à la fois un esprit d’aventure et une réflexion pragmatique face aux défis du marché immobilier français.

Romain a décidé de franchir le pas et d’acheter une propriété dans un pays aussi lointain que fascinant, attiré non seulement par les prix attractifs, mais aussi par l’opportunité de s’immerger dans une culture qu’il admire depuis longtemps. Dans cette interview, il partage avec nous son expérience, de la méfiance initiale à la satisfaction d’avoir fait un investissement aussi audacieux. Romain a surmonté ses doutes et réussi à saisir cette opportunité unique, tout en explorant les différences culturelles et les défis qu’il a rencontrés en cours de route.

Qu’est-ce qui vous a motivé à acheter une maison ici au Japon ?

Ma motivation était surtout financière, car en France, c’est très compliqué d’acquérir une maison, et c’est surtout très cher. Quand on voit les prix des maisons ici au Japon, c’est incroyable… Pour un tout petit budget, on peut devenir propriétaire ! C’était donc ma première motivation. La deuxième était le fait que le Japon est un pays très idéalisé en Europe, où beaucoup de gens rêvent de venir. Quand on combine ces deux aspects, on a envie d’acheter une maison au Japon.

Je vous vois très heureux…

Oui, c’est vrai, c’est vrai !

… Mais au début, vous étiez un peu hésitant…

Oui, au début, c’était un peu hésitant. Il faut comprendre que, pour les Français, quand on voit qu’on peut devenir propriétaire d’une maison pour cinq ou six mille euros, notre cerveau est conditionné à penser que c’est une arnaque. On se dit que ce n’est pas possible, qu’on va se faire avoir. Nous n’avons pas connaissance du marché japonais. Une fois qu’on en prend conscience et qu’un lien de confiance est établi, ça va mieux. Mais c’est vrai qu’au départ, je n’étais pas serein. De plus, vous veniez juste de lancer votre activité, donc le profil Instagram n’avait pas beaucoup de followers, et il n’y avait pas d’avis en ligne. Je me suis dit : « Waouh, je ne les connais pas, je ne sais pas… » Mais finalement, tout s’est parfaitement bien passé. Ce qui m’a rassuré, c’est quand je vous ai demandé : « Est-ce que je peux faire la procédure avec un avocat ? » et vous m’avez dit : « Pas de problème. » À partir de ce moment-là, j’ai su que c’était sérieux.

C’est normal, nous avons vécu la même chose avec d’autres clients au début… Vous faisiez partie de nos premiers clients, ce qui nous a particulièrement motivés à vous inspirer confiance. Au début, quel type de propriété envisagiez-vous ?

Au début, je recherchais vraiment une maison en béton, avec des briques. Mais quand j’ai vu celle que j’ai finalement choisie, ce n’était pas forcément le prix qui m’a attiré. J’avais un budget beaucoup plus élevé, mais quand j’ai vu cette maison de type architecture japonaise, avec en plus un document sur les tremblements de terre, ça m’a rassuré. Je me suis dit : « Vas-y ! » La maison que j’avais envisagée au départ n’était pas celle dont je suis finalement devenu propriétaire, mais ça a évolué en cours de route.

Le processus a été un peu long…

Il y a une histoire derrière, mais le processus a été plutôt fluide. Même s’il a été long, je trouve que tout s’est bien passé.

Comment évalueriez-vous la communication entre vous et nous ?

Je trouve que c’était incroyable. Même avec le décalage horaire – il était 7 ou 8 heures du matin chez moi, et l’après-midi chez vous – vous répondiez rapidement. Parfois, Miguel répondait 24 heures plus tard, mais je savais que j’obtiendrais une réponse. En France, quand on n’obtient pas de réponse, on panique. On pense tout de suite à une arnaque. Mais avec vous, c’était fluide, vous répondiez toujours. Même lorsque la vie quotidienne prenait le dessus, les réponses étaient claires et construites. Il n’y a rien à dire sur la communication. Vous avez toujours été accessible. Je me souviens du premier rendez-vous, il devait être 20 ou 21 heures chez vous, c’était l’heure du bain en famille, mais vous avez quand même priorisé ce moment pour être avec moi et m’accompagner. Cela m’a montré à quel point vous êtes professionnel et sérieux. Donc, pour moi, la communication avec vous a été superbe.

Notre but est que vous soyez satisfait dans un environnement familial et de confiance mutuelle. L’expérience a-t-elle été positive ?

Oui, tout à fait positive. Il y a eu des moments déstabilisants, comme lorsque Miguel m’a expliqué que, contrairement à la France où c’est le notaire qui lit le contrat, au Japon, c’est le vendeur. Il y a plein de petites différences comme ça qui ne se font pas en France. Mais tout a été fluide. Les documents à signer électroniquement, les envois par FedEx ou Chronopost… Tout s’est fait rapidement. C’était long, mais fluide.

Maintenant, la question est : comment ferez-vous votre programme de radio une fois au Japon ?

Oui, alors… Je vais rentrer en France pour l’instant, mais avec la magie d’Internet, on peut le faire en streaming à distance. J’ai même pour projet de diffuser l’émission en vidéo. Je suis en vacances au Japon en ce moment, mais l’année prochaine, je ne pense pas habiter dans la maison. Je vais continuer le show à partir de septembre sur place, mais si je dois le faire à distance, la magie d’Internet me permettra de le faire.

Allez-vous parler de nous dans votre émission ?

Oui, c’est sûr ! J’ai décidé de parler de vous parce que je suis très content. L’émission reprend mi-septembre, donc début ou mi-octobre, je parlerai de mon expérience. J’en ai déjà parlé à mes amis. J’ai même un couple d’amis qui est motivé pour acheter, mais je leur ai dit d’attendre mon retour en France pour leur donner tous les détails.

Petite information : si vous trouvez une maison similaire à la mienne près de chez moi, j’ai un couple d’amis qui veut acheter. Ils font des investissements immobiliers en France et aimeraient commencer à l’étranger. Ils sont très intéressés. Ils attendent juste mon retour pour savoir comment ça s’est passé. Je leur ai dit que je parlerai à Frédéric, ils m’ont dit : « Ok, c’est bon, on y va. » On en a parlé à d’autres amis aussi. C’est quelque chose qu’il faut vraiment souligner : quand on dit aux Français qu’on est propriétaire d’une maison au Japon pour cinq ou six mille euros, ils pensent immédiatement à une arnaque. Ils ne peuvent pas y croire. C’est pourquoi, en France, beaucoup de choses fonctionnent par le bouche-à-oreille et par l’expérience vécue. Les Français ont du mal à croire qu’on peut acheter une maison pour cinq, six, sept, voire vingt mille euros. Voici la preuve, avec les papiers.

Chez Your House in Japan, nous nous engageons à réaliser le rêve de nos clients d’investir dans une maison au Japon à un prix incroyable. Nous accompagnons nos clients à chaque étape du processus, depuis la première consultation jusqu’à la remise des clés, en veillant à ce que tout soit fait en toute transparence et en toute confiance. L’histoire de Romain est un exemple parfait de notre méthode de travail : non seulement nous l’avons aidé à acquérir une propriété à un prix exceptionnellement abordable, mais nous lui avons également fourni le soutien nécessaire pour que son expérience immobilière au Japon soit fluide et satisfaisante. Notre engagement est toujours de chercher le meilleur pour nos clients, en offrant un service personnalisé qui comprend leurs besoins et dépasse leurs attentes. Comme l’a dit Romain : « La communication avec vous a été superbe. » Ce niveau de service client est ce qui nous distingue et ce qui nous permet d’offrir non seulement un investissement réussi, mais aussi une expérience positive au Japon.